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Shay G. Hanniger
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☀ let the sun shine in.
NOM : Hanniger.
PRÉNOM(S) : Shay Gaëlle.
ÂGE : 23 ans.
DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 24 aout 1988, à L.A.
NATIONALITÉ : Américaine.
EMPLOI/ÉTUDES : Coiffeuse dans son propre salon.
STATUT AMOUREUX : Célibataire.
SITUATION SOCIALE : A la limite de la galère.
CARACTÈRE : Attentive, souriante, amusante, gentille, impulsive, violente, nerveuse, manque de confiance en sois.
GROUPE : Réputation.
CÉLÉBRITÉ : Katherine Moennig.
CRÉDIT Tumblr
the world smiles with you.
“Le travail est la pire des drogues : ceux qui en ont en crèvent, ceux qui en manquent en crèvent aussi.”Shay est une personne aux nombreux tics. De nature nerveuse, elle a pour habitude de se
ronger les ongles lorsque qu'une angoisse s'approche, elle
bouge souvent le genoux droit de haut en bas. Quand elle parle à quelqu'un, elle se
frotte souvent les mains sur son jeans, ou entre elles. Elle a besoin d'
avoir quelques chose pour lui occuper les mains, un médiator, ou un stylo par exemple.
Elle ne peut s'empêcher de se
tripoter les cheveux qui lui tombent dans la nuque. Perfectionniste, il faut que tout soit à la bonne place, et aligné. Elle ne supporte pas avoir quelques chose de travers, et s'empresse de le
remettre en place. Elle ne peut jamais s'empêcher de
bouger sur place, c'est son coter pile électrique, elle doit toujours être en mouvement. Elle ne supporte pas
mal allumer sa cigarette. Shay met toujours sa
chaîne à sa bouche, et elle
frappe dans un mur quand elle est énervée.
•• La "vie en rose" pour votre personnage ? La vie en rose pour Shay ? C'est plutôt difficile à déduire. C'est une personne qui dors le jour et sors la nuit. Mais je vais essayer. Pour Shay, le bonheur à l'état pur serait de légaliser les drogues, surtout les drogues dure. Elle prend un malin plaisirs à se faire des traces, des bangs, etc... Addict à la cocaïne, elle adorerait vivre dans un monde où celle-ci est légalisée.
Elle rêverait de pouvoir se droguer comme bon lui semble, bien qu'elle le fasse déjà, et pouvoir se baigner dans un bain de champagne, ou de vodka. Ca, c'est son petit plaisirs personnel. Elle n'aime pas forcément la vie, et du coup, cette petite poudre blanche lui permet de s'exiler un peu, et de partir ailleurs...
we must fight to survive.Gaël Angel Hanniger, sous-officier dans l’armée de mer, décédé en Afghanistan. Mary Roselyn Hanniger, infirmière de rang, décédée en Afghanistan. Voilà une courte présentation de mes géniteurs. Je n’ai jamais vraiment entendu parler d’eux. Les seules personnes que j’ai connues furent, mes éducateurs. Je n’ai jamais eu de véritable éducation, et du coup, je me suis élevée seule, avec mes propres règles de conduite.
Ne pas fumer ? Ne connais pas. Les coudes sur la table ? Ne connais pas. Le respect ? Ne connais pas. L’amour ? Le rejette catégoriquement. Les quartiers chics ? Ne connais pas. La politesse ? Ne connais pas non plus. Personnellement, ma vie, mes règles, elles sont no limites. J’aime ce que je fais, peut-être que je n’ai pas choisis la meilleure des solutions, mais je m’en contre-fiche.
~
« La vie n’est pas un long fleuve tranquille, souviens tant Shay. Papa reviendra bientôt, je te le promets. » Puis il m’embrassait longuement sur la joue, les larmes aux yeux. Je n’avais pas bien compris de quoi il s’agissait, en même temps, pour un enfant de trois ans, c’était normal. Je le vis s’éloigner de moi, habiller de son uniforme de marin, la tête haute, et l’air fier. Je courus à la fenêtre, posant mes deux mains sur la vitre, il montait dans une voiture, et celle-ci disparu à la fin de la rue. Je me tournais vers ma mère qui paraissait confiante. « Il reviendra quand papa ? » Elle ne répondit rien, comme d’habitude à chaque fois qu’il s’en allait. Je savais qu’il y avait quelque chose de pas normal, et ça, mes deux parents me le cachaient. « Shay ? » Ma mère me prit doucement dans ses bras. « Maman aussi va partir mon cœur, mais pas maintenant, et je reviendrais avec papa, d’accord ? » « Oui, maman. » Je scrutais à nouveau la fenêtre, une larme ruisselant sur mon visage. J’ignorais que j’allais perdre les seules personnes les plus chères à mon cœur. J’ignorais la souffrance constante que j’allais ressentir, et ce manque irrévocable de l’absence d’un père, et d’une mère aimante.
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Je courais à travers la cour de récréation, bien entendu, après une de ces demoiselles qui n’arrêtaient pas de m’embêter sur mon physique. J’avais beau être garçon manqué, je restais une fille. J’avais les cheveux longs mal grès mes jeans trop larges et mes chaussures abîmées. « Shay !! » Je reconnus de suite la voix de la directrice, soupirante, je m’arrêtais et vint vers elle, mains dans les poches. Depuis quelques temps, je me conduisais comme un vrai garçon, je crachais sur les murs, dans les couloirs, je jouais au foot, et tirais les cheveux des filles… « J’ai quelques chose à te dire. Suis-moi. » Je m’exécutais. La femme paraissait soucieuse, perturbée même. Nous rentrâmes dans le bureau, et là, je vis un militaire, face à une fenêtre. « PAPA !! » J’aurais voulu lui sauter dessus, mais il se retournait à ce moment là pour me faire face. Ce n’était pas lui. Je me reculais brusquement, l’air effrayer de le voir ici, je ne voulais pas qu’on m’emmène loin de ma vie, j’aimais Los Angeles, je ne voulais pas aller en Afghanistan. « Shay, assieds toi. » Je fis un non de la tête. « Bien. Je suis navré, mais… tes parents ne reviendront pas ici, à L.A. » Je fronçais les sourcils, essayant de décrypter les paroles de cet inconnu. « Tes parents… sont… partis. Ils sont malheureusement morts. » Choquée, j’ouvris quand les yeux, entrouvrant la bouche. La directrice vint derrière moi pour me réconforter, mais je refusais un quelconque geste d’affection. J’étais désormais seule, livrée à moi-même. Je n’eus rien à dire, et je partis brutalement dans la cour de récréation. Je n’en croyais pas mes yeux. Mes parents ne pouvaient pas être morts, c’était incohérent.
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De la musique, une ambiance festive, voilà ce que j’aimais dans ma nouvelle vie. J’avais maintenant dix-huit ans, et je n’étais pas à ma première soirée. J’en avais fait des conneries, et va y que je fais des Skins party, des teufs, etc… Tout était tellement bon, tellement nouveau ! Je ne me cachais de rien, préférant ma réputation, plutôt que d’être cloitrée dans un coin. Jamais personnes n’avaient fait attention à moi à l’époque, maintenant, tout avait changé. J’étais connue, et même chez les flics, nombres d’heures de garde à vue que j’avais fait. Nombre d’amende non payées, et payées. Nombre de travaux forcés. Et toujours le même discours ; « ses parents sont morts, on ne peut pas lui en vouloir ». Pourquoi un tel élan d’une fausse compréhension ? D’accord, mes vieux étaient morts, et alors ? J’avais le droit au même traitement que les autres, pas un traitement de faveur, parce que mes parents, anciens militaires étaient morts au combat !
Je snifais une nouvelle fois cette poudre blanche, j’en avais pris l’habitude, elle ne me faisait presque plus rien. Dans les bras d’une fille, encore une que j’allais avoir dans mon lit quelques heures après. Ah oui, j’aimais les femmes, le corps d’une femme était bien plus plaisant que celui d’un homme. Une femme, c’est doux, attentionné, et naïf. J’aime leur comportement, bien que chiante et collante. Je ne me lasse jamais de leur faire l’amour, de passer d’une fille à l’autre.
Peut-être ai-je la réputation d’une prostituée, mais je le suis, et ce n’est pas une simple façon de parler. A mes heures perdues, il m’arrive d’aller filer un coup de main à mes potes gays, au risque de me faire voir, et tuer par des clients, ou par les macs.
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Me voilà en Atlanta, dans mon propre salon de coiffure, le Wax. Boutique de skate, boutique de fringues, piercings, et autres conneries du genre, salle de concert parfois, et teufs garanties. J’ai pu créer cela grâce à un ancien client. C’était il y a maintenant quelques années, j’aidés mes potes gays sur le trottoir, un mec m’a prit avec lui, au lieu de faire les trucs habituels. Nous avons parlés, il m’a demandé pourquoi je faisais cela, qui j’étais exactement, et qu’est-ce que j’avais rêvé de faire à l’avenir. C’est lui qui m’a payé ma formation de coiffure, et m’a aidé à ouvrir cette boutique. J’en suis redevable, bien qu’il soit malheureusement décédé d’un cancer.
C’était un homme bon, un homme qui me comprenait, et me laissais agir comme bon me semblait. Il n’a jamais voulu que j’arrête la drogue, m’en fournissait même. Sont lui extérieur n’était pas son lui intérieur. Il portait souvent des costumes hautes couture, et pourtant, il aimait s’amuser autant que moi.
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Voilà où j’en suis. Shay Gaëlle Hanniger, 23 ans, droguée et directrice du Wax. J’aime ma putain de vie, j’aime mes putains d’amis, je ne regrette strictement rien…
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- PSEUDO/PRÉNOM : Satan. ÂGE : Dix-huit ans. PAYS : France. TU AS DÉCOUVERT WOS SUR : Grâce à une de vos membres. TAUX DE PRÉSENCE : 4/7. TON AVIS SUR WOS : Il a l'air plutôt pas mal. UN DERNIER MOT : J'espère avoir tout pleins de rps :) .