caleb ♪ hello, alone, it's me again.

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caleb (justin) cartiwght

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☀ let the sun shine in.

NOM : cartwight. il lui vient de sa mère puisque son paternel n'a jamais accepté qu'il soit de lui. enfant illégitime, ou bâtard comme certains ne se sont pas gênés de le surnommer, il n'a rencontré son père qu'à l'âge de onze ans. PRÉNOMS : caleb en premier, puis justin qui a été donné en hommage à son grand-père décédé quelques jours avant sa naissance. ÂGE : vingt-quatre ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : nouvelle orléans, en louisianne, un sept avril. NATIONALITÉ : américaine. EMPLOI/ÉTUDES : au chômage, suit quelques cours en auditoire libre. STATUT AMOUREUX : célibataire officiellement, mais est l'amant d'une femme fiancée. SITUATION SOCIALE : . CARACTÈRE : astucieux, fourbe, véhément, misanthrope, malin et cultivé, ardent, trop souvent irréfléchi, complètement impulsif. GROUPE : plaisir. CÉLÉBRITÉ : robert pattinson.

cycy-cycy.

the world smiles with you.
the storm broke loose, but first of all... ”il joue de l'harmonica et est plutôt doué の il adore le chocolat noir pur cacao の il se triture souvent les doigts ou le pan de son pull quand il est sous pression の il ment très bien の il apprécie beaucoup les poèmes d'Oliver Wendell Holmes の il est dépendant aux somnifères et au valium の il est intolérant aux abricots の il passe souvent sa langue sur ses lèvres quand il s'exprime en public の il répond fréquemment à une question par une autre question の il lève sans arrêt les yeux au ciel.

•• La "vie en rose" pour votre personnage ? La vie de Caleb est rapidement résumée : plaisirs, fêtes et bande de copains. Il n'aime pas le sérieux de la vie, il préfère les côtés parfois oubliés par les gens de son âge qui pensent déjà à se poser. Son avenir ? Il ne le voit pas, il n'y pense pas. Certains le traiteraient d’insouciant et c'est probablement le cas. Après le lycée, il n'a pas continué ses études, préférant aligner les petits boulots. Désormais auditeur libre à l'université, il se ballade dans les couloirs à la recherche du cours qui lui permettra de découvrir sa voie. Sa vie en rose, c'est celle qu'il mène aujourd'hui, sans obligation et responsabilité aucune.

we must fight to survive.

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hello, good morning, how you do ?

S'te plaît, dis-moi que c'est une blague, lâche-t-elle en me fixant d'un œil entendu. Je saisis immédiatement l'allusion, mes yeux se posent sur elle et je ne la lâche pas durant quelques instants. Elle grimace, touche ses cheveux du bout des doigts, une caresse aussi gracile que celles des ailes d'un papillon. J'ai vingt-quatre ans, à quoi tu t'attendais franchement ? j'assène avec un sourire taquin. Elle hausse les épaules, m'analyse durant quelques secondes et puis s'approche de moi et s'installe sur le fauteuil avec moi. Nos genoux s'effleurent, quelques étincelles caressent ma peau mais je feins l'indifférence la plus complète. Et sous prétexte que t'es jeune, tu te tapes une femme mariée ? Ses yeux me scrutent, elle attend la réponse, elle attend la réplique qui se forme déjà dans ma gorge, roule sur ma langue et claque dans l'air. Je grogne, seule vanne suffisamment éloquente. Ma main s'écrase sur ses cheveux blonds que j'ébouriffe avec vigueur. Elle n'est pas mariée, espèce de langue de pute. En réponse, j'ai le droit à l'imitation de la dame outrée par mon mauvais langage. Elle m'assène un coup derrière le crâne, j'ouvre la bouche mais je n'ai pas le temps d'en placer une qu'elle passe une main douce dans mes cheveux avec un air un peu plus sérieux. Promets-moi juste de faire attention. Ton cœur est plus fragile que tu ne le penses, pas beau. Je ricane, m'écarte de son étreinte. Tu parles comme une bonne sœur. Et bam, tout se finit avec un coup d'oreiller dans le pif.

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let's play with fire

Elle me regarde, me scrute, m'étudie. Elle lit les pensées qui se devinent sur le fusain de mon visage. La peau d'albâtre de ses douces épaules attirent mon attention, je me penche sur elles et les effleurent des lèvres. Elle sourit. Je l'entends sourire, ce léger souffle qui s'échappe et s'envole et virevolte dans l'atmosphère confinée de la chambre d'hôtel. Arrête... C'est une supplication. Une fausse supplication. J'entends, derrière celle-ci, l'ordre de ne surtout pas m'exécuter. Mes lèvres remontent lentement, j'effleure les siennes mais me recule avant qu'elle n'ait pu apprécier l'idée d'un baiser. Et dans trois secondes, tu me fous dehors. Dans ma tête commence le compte-à-rebours. En même temps, c'est ma faute. Une pauvre petite partie de jambe en l'air, pas l'temps de remettre ça, qu'elle me parle déjà de son fiancé qui l'attend je ne sais où. Foutus interdits qui me mettent dans tous mes états ! Elle sourit, passe son chandail, cherche sa petite jupe sur le sol. Ou alors c'est moi qui m'en vais. Je suis... Je la coupe. Attendue, je sais. Un sourire taquin vient s'installer sur mes lèvres. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, je ne désespère pas de la situation. Au contraire, elle me convient. Aucune attache. Je déteste l'engagement, je déteste la fidélité. D'ailleurs, nous n'abordons jamais les détails sérieux. Je la plaque contre une paroi, elle passe une main dans mes cheveux en soupirant d'aise et je lui fais oublier son avenir de petite femme de comptable bien rangé, maison à la campagne et chiens qui aboient après les gosses. Ce soir, chez toi ? Voilà le genre de sujet que j'aime. J'acquiesce et lui ouvre la porte, lui vole un baiser lorsqu'elle passe devant moi. Je t'attendrai très sagement. Elle me rit au nez. Je te connais : tu n'es jamais sage. Touché. Coulé.

Citation :: PSEUDO/PRÉNOM : heart shaped box, fabien. ÂGE : dix neuf ans. PAYS : francia. TU AS DÉCOUVERT WOS SUR : le sentier de l'amitié. TAUX DE PRÉSENCE : comme mon taux d'alcoolémie, assez constant. TON AVIS SUR WOS : très joli, simple mais abouti comme j'aime. UN DERNIER MOT : c'est le dernier mot.